transgression_cenomanien

La surface de transgression du Cénomanien

d’après les travaux de Juignet (1974)

La transgression cénomanienne entre la Pointe de La Hève et Saint-Jouin Bruneval

La transgression cénomanienne entre la Pointe de La Hève et Saint-Jouin Bruneval

Sur la coupe La Hève – Saint-Jouin, Juignet (1974) a mesuré les épaisseurs entre différents niveaux-repères de l’Albien et du Cénomanien inférieur. En remettant à l’horizontale le doublet de silex au-dessus du HG Bléville 2 (ce qui devait être approximativement le cas au moment de sa formation), le dessin montre que la surface de base cénomanienne, alias Surface Octeville, est une surface de ravinement érodant plus ou moins la gaize supérieure.
Au cours le l’Albien, un relief tectonique devait déjà s’être formé. Ce relief est appelé « seuil d’Octeville« . Avant la transgression cénomanienne, une érosion affecte ce seuil. La morphologie du fond sous-marin éo-cénomanienne a gardé en partie cette forme.

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